Viorne boule de neige – Viburnum
CHF49.50
Viburnum opulus ‘Roseum’
Description
Description
Cet arbuste caduc, au port large, offre une exceptionnelle floraison printanière formée de très nombreuses inflorescences blanches en forme de boule virant au rose en fin de floraison. Cette variété est stérile et ne produit ainsi pas de fruits. De grande dimension si il a de la place pour ce développer, une taille régulière permettra toutefois de le conserver sous forme arbustive.
Informations complémentaires
Informations complémentaires
Le genre Viburnum compte plus de 150 espèces réparties dans toutes les zones tempérées et subtropicales de l’Hémisphère nord. Seuls le viorne obier (V. opulus) et le viorne lantane (Viburnum lantana) sont indigènes en Europe, toutes les autres espèces étant réparties sur les continents asiatique et nord-américain.
Les viornes possèdent un feuillage aussi bien persistant, semi-persistant que caduc. Les feuilles sont entières, lobées ou lancéolées, opposés, parfois en verticille. La coloration du feuillage en automne peut varier du jaune (V. opulus, V. lantana) au rouge-violacé (V. plicatum, V. x bodnantense).
Les viornes possèdent une très grande variation de fleurs. Appelées aussi communément « boule de neige », les viornes proposent aussi bien des inflorescences plates (V. lantana, V. plicatum, V. opulus) qu’en forme de boule (V. x bodnantense, V. carlesii, V. x burkwoodii). Ces fleurs déploieront leur charme au printemps pour la plupart des espèces, en hiver pour quelques-unes. La floraison est dans la plupart des cas délicatement parfumée.
L’aspect décoratif des viornes est complété, pour certaines espèces, de beaux fruits colorés rouge, jaunes ou oranges (V. lantana, V. opulus). D’autre seront noirs et plus discrets.
Plantation et utilisation
Les viornes sont amateures de chaleur et se prêtent bien à une utilisation dans des sols modérément secs à frais, légèrement alcalins. D’une manière générale, les viornes préfèrent un sol plutôt plus frais que trop sec.
Les viornes sont particulièrement adaptées à la composition d’écrans arbustifs, indigènes ou non. Seules quelques espèces, comme V. plicatum, méritent une plantation en isolé.